Que mange-t-on dans un jet privé ? Les voyageurs d’affaires, plus intéressés par les repas « santé » que le caviar

Le 28 juin 2018 : On imagine que la plupart des vols privés s’accompagne de foie gras, truffe, caviar et champagne coulant à flot. Mais, d’après l’entreprise de location de jet privé PrivateFly, les préférences gastronomiques des voyageurs ont évolué au cours des dernières années, laissant place à des plats plus simples et plus sains. PrivateFly révèle les plats et boissons les plus souvent commandés à bord et les demandes les plus surprenantes !

En jet privé, les voyageurs ont le luxe de choisir ce qu’ils souhaitent manger à bord. Et, d’après PrivateFly, beaucoup d’entre eux préfèrent les plats sains et de qualité à la haute gastronomie traditionnelle. « Nous recevons beaucoup de demandes pour des régimes particuliers : végétariens, sans gluten, sans sel, sans graisse ou cétogène, … la liste est longue. Les restaurateurs de l’aviation privée savent s’adapter à toutes sortes de demandes », explique Charlotte de Beaumont, responsable marketing de PrivateFly.

« Cet été, les plats les plus demandés à bord sont la salade niçoise, les plateaux de crudité et les sandwiches au saumon ou au poulet. Les sushis sont également de plus en plus populaires. Pour le petit-déjeuner, les demandes sont généralement très simples, à base de fruits et de viennoiseries. »

En ce qui concerne les boissons, PrivateFly confirme que le champagne et les vins pétillants restent très populaires, en particulier pour les vols de loisirs ou en cas de célébrations. Mais beaucoup préfèrent les jus frais et les boissons protéinées et énergétiques.

Le changement de régime des clients de PrivateFly en dit beaucoup sur les utilisateurs de jet privé d’aujourd’hui. L’âge moyen de ses clients est de 39 ans et beaucoup d’entre eux sont plus soucieux de leur bien-être que les précédentes générations. « Ils choisissent l’aviation privée pour se déplacer plus efficacement et éviter de perdre du temps dans les transports, ce qui leur permet d’équilibrer leur vie privée et leur vie professionnelle plus sainement et d’être complètement flexibles, y compris en ce qui concerne ce qu’ils mangent. », conclut Charlotte de Beaumont.

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